Qu'appelle-t-on la MÉDECINE HOLISTIQUE ?
Un nombre croissant de scientifiques étudient les médecines non conventionnelles et beaucoup de médecins les ajoutent à leur pratique médicale.
On les connaît sous les noms de médecines alternatives, médecines parallèles, médecines traditionnelles, médecines naturelles, médecines douces mais l'appellation recommandée par l'Académie de médecine française est celle de «thérapies complémentaires».
Selon les pays, et leurs traditions et législations, elles peuvent être communes (Danemark, Allemagne, Suisse, Angleterre…), simplement tolérées mais sont aussi utilisées dans les hôpitaux (France, pays de tradition latine), ou interdites. . Elles se développent en complément ou en alternative à la médecine classique et sont utilisées couramment par 20 à 50 % des européens.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) inclut les médecines complémentaires et alternatives dans les médecines traditionnelles.
Les traitements basés sur les produits pharmaceutiques sont très coûteux (trop pour un grand nombre de pays), le plus souvent toxiques avec des effets secondaires indésirables, et recherchent plus la disparition des symptômes que les causes profondes du mal.
On fait appel aux thérapies complémentaires pour alléger les traitements allopathiques, les compléter sans “chimiquer” le patient à outrance, voire les suppléer dans des domaines où ils sont impuissants.
PRINCIPE :
La médecine holistique désigne une grande variété de méthodes de traitement, mêlant traditions séculaires et technologies ultra-sophistiquées.
Son principe de base repose sur le postulat qu’un individu n’est pas qu’un ensemble d’organes plus ou moins indépendants. Au contraire, elle considère que l’organisme constitue un tout cohérent. Une bonne santé est le signe d’une harmonie entre le physique et tous ses composants, le psychisme, et même des dimensions transcendantes évoquées dans la spiritualité (au sens le plus large) aujourd’hui mises en évidence par la physique quantique.
Devant la complexité de cette “horlogerie”, on comprend bien qu’un simple grain de sable dans l’un quelconque des rouages déstabilise tout l’ensemble. Si le problème est rapidement résolu, tout se remet à fonctionner normalement, sinon un mal chronique s’installe.
On répertorie une maladie en fonction de ses symptômes. L’approche holistique considère cette maladie comme étant elle-même le symptôme d'un mal psycho-physique plus profond. Traiter seulement un organe qui souffre revient à déplacer le problème. Ne pouvant plus se manifester de cette façon, il réapparaîtra ailleurs, sous une autre forme, souvent plus grave.
Ceci met en évidence un autre paramètre : la sous-estimation tragique de l’influence du psychisme sur la santé physique. La médecine holistique fait appel à des techniques éprouvées telles que la sophrologie et l’hypnose.
Enfin, l’impact environnemental n’est considéré que sous aspects biochimiques et pratiquement jamais dans ses aspects d’échanges “vibratoires” (ondes radio, Tv, cellulaires, tellurisme, influences mentales de l’entourage, de l’habitat, des lieux, etc…).
On ne résoudra pas le problème fondamental d’un malade en ignorant tout ces paramètres.
Pour la médecine holistique, chacun de nous a sa propre fréquence vibratoire, sa “note” personnelle. Exactement comme en musique, cette note rencontre des harmoniques et des dysharmoniques. On appréciera les personnes mais aussi les images, les mets, les couleurs, les matières, les substances chimiques, les lieux, en fait tout ce qui sera en harmonie avec nous. Inversement, tout ce qui est dysharmonique nuira à notre équilibre physique et mental.
De la médecine antique à la médecine quantique…
On peut considérer qu’il y aura eu trois étapes fondamentales dans la médecine européenne:
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La “médecine de Molière” dite “des humeurs” (le sang, la lymphe, la bile jaune et l’atrabile).
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La Médecine de Bichat (base de notre médecine européenne actuelle).
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La Médecine quantique.
La première est toujours utilisée en naturopathie, la seconde est notre médecine commune actuelle, la troisième vient compléter notre arsenal thérapeutique.
Aucune ne remplace ni ne supplante les autres. Aucune médecine n’a la prétention de tout guérir. Mais certaines ont des résultats là où les autres n’en ont pas.
La Médecine quantique offre de nouveaux horizons en matière de santé.
On peut parler d’une médecine de l’information. En effet, tout communique avec tout : les brins de notre ADN entre eux, les organes avec le cerveau, le psychisme influe sur les fonctions de nos organes, notre aura imprègne les objets, les ondes influencent notre psyché, même nos pensées ont un impact sur nous-même mais aussi sur les autres, et inversement… On parle de Bio-résonnance.
La médecine quantique est issue de la recherche spatiale. En effet, les cosmonautes n’ont jamais eu la place d’emporter avec eux toute une pharmacie, ni des scanners ou autre IRM, ni des blocs opératoires !
Or, avec des séjours de plus en plus longs en station orbitale et la perspective des futurs voyages intersidéraux (mars notamment), les risques s’accroissent. Il fallait donc jouer sur plusieurs tableaux : la mesure permanente des paramètres vitaux, la prévention, et la correction des anomalies. Le tout au moyen d’instruments les plus miniaturisés possibles.
Des appareils ont donc commencé à être développés tant en Russie qu’aux U.S.A. il y a une quarantaine d’années.
Certes, nos préoccupations bien terrestres sont loin de celles des cosmonautes en apesanteur. Néanmoins, nous disposons maintenant d’appareils adaptés à nos conditions.
Basée sur l’identification des bio-fréquences humaines, la médecine quantique permet de réaliser un bilan rapide et précis du niveau énergétique (degré d’entropie) des différents systèmes qui déterminent l’équilibre physique et mental de l’individu. On peut déceler des anomalies longtemps avant qu’elles ne se manifestent de façon pathologique. En fait, une maladie ne se déclare qu’en dernier lieu. Nombre de paramètres doivent être réunis préalablement. La maladie n’est donc que le dernier maillon d’une chaîne.
En corrigeant les fréquences vibratoires adéquates, on prévient les maux futurs, on corrige ceux déjà installés et on permet parfois à l’organisme de s’auto-adapter à des conditions environnementales nocives.
Autre paramètre quantique, étrange mais fort utile, la radionique des champs morphiques permet dans une certaine mesure d’agir à distance sur un individu.
Grâce au principe d'Intrication quantique, on peut également traiter efficacement à partir d’un échantillon d'ADN (salive).
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